Paris, ma bonne ville, est le troisième tome sur les treize que comptent la saga Fortune de France, que l’on doit à Robert Merle.

L’histoire de Paris, ma bonne ville

Pierre de Siorac, revenu de Montpellier où il a suivi des études de médecine, combat, en duel, Bertrand de Fontenac, membre d’une famille rivale de la frérèche qui n’a eu cesse de multiplier les provocations. Il n’a plus d’autre choix que de se rendre à Paris pour demander au Charles IX sa grâce royale. Pierre de Siorac atteint la capitale alors que les préparations du mariage entre Marguerite de Valois, soeur du roi, et Henri de Navarre, qui sera connu quelques années plus tard sous le nom d’Henri IV.

Pierre de Siorac, son frère Samson et le brave Miroul, partagent à Paris la vie de Cour, prennent conscience du quotidien difficile des artisans et menus gens, et réalisent la haine farouche contre les huguenots d’une grande partie de la population.

Mais les voilà pris en pleine nuit de la Saint Barthélemy, qui voit l’assassinat de milliers d’huguenots, nobles et humbles, hommes, femmes et enfants, par des forcenés catholiques.

Pierre de Siorac et ses compagnons parviendront-il tous à fuir la ville, et échapper à la véritable chasse à l’homme qui a été lancée contre leurs coreligionnaires ?

Pourquoi faut-il le lire ?

Paris, ma bonne ville, apporte un éclairage intéressant sur l’enchaînement de circonstances ayant conduit à l’horreur de la Saint-Barthélemy. La vie quotidienne et les tracas du Paris d’alors sont bien dépeints, ainsi que l’atmosphère particulière de la cour du roi.

Paris, ma bonne ville, est le troisième tome de Fortune de France.