Sous le vent du monde, tome 1

Qui regarde la montagne au loin

Un monde sans fin, de Ken Follett, vous invite une nouvelle fois à Kingsbridge, dans un monde qui sera la proie de l’épidémie la plus terrible de l’Histoire.

Résumé et histoire : Sous le vent du monde, tome 1

Fermez les yeux, remontez le temps et traversez l’espace. Nous sommes 1,7 million d’années avant notre ère, dans l’est de l’Afrique, berceau de l’Humanité. Nos lointains ancêtres ont trouvé refuge près d’un vaste lac à l’abri des averses les plus redoutables.

Nî-éi ne s’intègre pas aux autres femmes de son clan, rencontre Moh’hr. Elle porte en effet la marque du grand sh’ohr (la panthère noire), et pourrait attirer le malheur sur le groupe. Rejetée par toutes et par tous, elle rencontre Moh’hr, surnommé « celui qui contemple la montagne au loin ». Ce dernier a abandonné les siens pour se lancer dans une quête folle, celle de partir à la recherche de la grande montagne qui dissimule les nuages.

Ils sont différents, ils ne parlent pas le même langage, n’ont pas la même conception de ce monde où chaque arbre, chaque pierre, chaque colline, chaque rivière cache un nouvel inconnu. Pourtant, ils vont expérimenter ensemble un autre mode de communication, à l’occasion d’un périple qui les changera pour toujours.

Titre : Sous le vent du monde, Qui regarde la montagne au loin
Auteurs : Pierre Pelot, Yves Coppens

Editeur : Folio
Date de sortie : 14 janvier 1998
Format : Poche
Nombre de pages : 344
ISBN-10 ‏ : ‎ 207040398X
ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2070403981

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Avis d’un lecteur : pourquoi faut-il le lire ?

Yves Coppens compte parmi les paléontologues français les plus connus, et a contribué à des découvertes qui ont changé notre conception de la Préhistoire. Pierre Pelot est un écrivain prolifique, à qui on doit des dizaines de romans. L’association des deux hommes ne peut donner qu’un livre intéressant, qui s’appuie sur les compétences historiques de l’un et sur l’expérience de l’écriture de l’autre.

Il y a une dimension shakespearienne dans le roman historique Sous le vent du monde. Les Montaigu et les Capulet sont devenus les Homo Rudolfensis et les Homo Habilis, mais une même romance au parfum d’interdit règne.

Une part est laissée à l’interprétation, pour une immersion plus aboutie… ou plus difficile ! C’est selon.